بسم الله الرحمن الرحيم و الحمد لله رب العالمين و الصلاة و السلام على سيد الخلق سيدنا محمد
رابط الموقع
إضغط هنا
سبحان الله و بحمده عدد خلقه و رضا نفسه و زنة عرشه و مداد كلماته
سبحان الله
الحمد لله
لا إله إلا الله
الله أكبر
Le
système immunitaire d'un organisme est un ensemble coordonné d'éléments qui permet de discriminer le « soi » du « non-soi ». Il agit comme un mécanisme de défense contre les pathogènes, tels que les virus, les bactéries, les parasites, les cellules cancéreuses, certaines particules ou molécules « étrangères » (dont certains poisons).
Il est responsable du phénomène de rejet de greffe
[1].
On dénombre plusieurs variantes de systèmes immunitaires parmi les espèces animales, et parfois un même organisme peut accueillir plusieurs systèmes immunitaires (le cerveau humain, par exemple, possède son propre système immunitaire, distinct de celui du reste du corps). De nombreuses espèces, dont les mammifères, utilisent la
variante décrite ci-après.
Le mot « immunité » vient du latin
immunitas (« exempté de charge »).
Les principaux agents du système immunitaire sont les cellules immunitaires appelées leucocytes (ou globules blancs) produites par des cellules souches, au sein de la moelle osseuse.
Il existe deux types de mécanismes de défense :
- Les mécanismes de défense non-spécifique ou innée ou naturelle, comme la protection de la peau et les muqueuses, l'acidité gastrique, les cellules phagocytaires ou les larmes ;
- Les mécanismes de défense spécifique, comme l'action dirigée des lymphocytes et la production d'anticorps spécifiques.
On appelle
réponse immunitaire l'activation des mécanismes du système immunitaire face à une agression de l'organisme. L'ensemble de ces systèmes (y compris chez l'homme la vaccination) permet la résilience immunitaire : notion qui recouvre la somme des mécanismes efficaces de défense d’un organisme vis-à-vis d’un agent pathogène (du grec
pathos : malheur).